mardi 7 novembre 2017

L’observatoire des Ressourceries édition 2017 est disponible !

La collecte des données pour l’Observatoire des Ressourceries s’est déroulée d’avril à juin dernier. 92% des Ressourceries en activité ont participé en répondant au questionnaire, nous les en remercions !

L’Observatoire des Ressourceries est aujourd’hui un outil important pour le réseau national. Il permet de rendre compte de l’impact des activités des Ressourceries sur le territoire et de promouvoir le secteur du réemploi et de la réutilisation.
Les porteurs de projet (individuels, structures de l’ESS, collectivités territoriales), les Ressourceries, nos partenaires tels que l’ADEME peuvent alors en prendre connaissance et se rendre compte de ce que représente ce réseau professionnel reconnu.

Quelques chiffres clés (sur l’année 2016) :
–       Près d’1 français sur 3 habite dans une commune couverte par un service de Ressourcerie
–       Les Ressourceries comptabilisent 3079 salariés
–       40800 tonnes de déchets ont été collectées
–       36% de réemploi/réutilisation, 56% de recyclage, soit 92% de valorisation pour les DEA, D3E, TLC et autres encombrants



Nous vous invitons à découvrir plus en détails cette édition 2017 de l’Observatoire national des Ressourceries (document à télécharger en cliquant ici). N’hésitez pas à le diffuser dans vos structures et auprès de vos partenaires.

Bonne lecture !

samedi 21 octobre 2017

Demain (s) Mode(s) d'emploi (s)

Ça  c'est passé aux Ecossolies :Pôle de coopération et d'innovation sociale



Cette année, Demain(s) Mode(s) d'Emploi(s) revient avec une thématique : l'alimentation et les circuits courts :

Nous somme de plus en plus nombreux à interroger notre rapport à la nourriture, que ce soit sous l’angle de l’environnement (manger local), de la santé (manger plus sain), du prix (juste rémunération des produits). C’est pourquoi la filière « alimentation et circuits-courts », est à la fois en pleine mutation et en fort développement. Elle doit faire face à 3 principaux défis :

  • Augmenter la production agricole locale pour répondre à la demande
  • Adapter les modèles logistiques aux circuits courts pour réduire leur coût environnemental et économique
  • Développer de nouvelles formes de distribution

Vous avez une idée ou un projet sur cette thématique; et vous êtes partant pour le partager, le défricher et le faire grandir avec une équipe motivée ? Vous souhaitez simplement donner un coup de main à des initiatives innovantes ?

Pendant deux jours, rejoignez des entrepreneurs.euses, pro du secteur, salarié.e.s, étudiant.e.s... Profitez d'ateliers animés par des expert.e.s, d'un accompagnement par des mentors, de temps d'inspiration collectifs, découvrez des méthodologies créatives... Boostez votre projet, faites des rencontres et vivez une expérience intense !




Le + : Un jury se réunit à la fin du 2ème jour pour voter et décerner des prix : 10 000 € de dotations à se répartir entre les trois projets les plus prometteurs !



Cliquer pour accéder aux projets , équipes, Lauréats 

vendredi 13 octobre 2017

Les Boites à Vélo : le collectif des entrepreneurs nantais à vélo

Quelle est la différence entre une ressourcerie et une recyclerie ?




Le terme de ressourcerie correspond à un cahier des charges précis, défini par le Réseau National des Ressourceries. Pour être nommée ressourcerie une structure doit : collecter des objets sans les sélectionner, les revaloriser, les redistribuer, et mener des actions de sensibilisation à l’environnement.
Les recycleries se distinguent par une collecte spécialisée, tout en poursuivant les mêmes objectifs de réemploi. Par exemple, une recyclerie pourra se spécialiser dans la collecte de vélo telle que le propose le réseau des ateliers d'auto réparation vélo l'heureux cyclage ou bien de matériaux particuliers comme la récupération de palettes par le groupement Ecopal

Voici une liste non exhautive des "ressourceries" de Loire Atlantique:



mercredi 11 octobre 2017

Atelier Velo participatif en cours de création: Re cyclo rit



Re cyclo rit un atelier en cours de création à (?) Couëron (Loire Atlantique) ... [à suivre !]
Cliquer sur l'image


vendredi 22 septembre 2017

Réseau des ateliers vélo participatifs et solidaire

"L'HEUREUX CYCLAGE"


cliquer sur l'image pour accéder au site
L’Heureux Cyclage est le réseau des Ateliers vélo participatifs et solidaires. Il a pour objet de promouvoir et valoriser l’activité des « Ateliers vélo ». Les Ateliers vélo se définissent par leurs activités de promotion active du vélo basées sur le réemploi de vélos inutilisés et l’apprentissage de la mécanique.



En appui technique, réglementaire et partage d'information , relevons de site WiKlou  le " Wiki du Biclou"





jeudi 21 septembre 2017

ATELIERS D'AUTO-RÉPARATION VÉLO

L'Ademe vient de publier une étude d'évaluation sur les ateliers d'auto-réparation qui "confirme leur grand intérêt".


Cliquer sur l'image pour accéder à l'étude



Synthèse de l'étude:
Recommandations de l'étude


Nous pouvons aussi saluer l'ouverture d'un nouvel atelier d'auto-réparation à Nantes ce 20 septembre 2017


Cliquer sur image pour accéder au site

jeudi 6 juillet 2017

En projet à Nancy : Grande Épicerie Générale





LE PROJET

UN CONSTAT :

Aujourd’hui, en réponse aux enjeux écologiques, économiques et sociaux de nombreuses initiatives citoyennes naissent et se développent autour de nous. Elles ont en commun de proposer des alternatives, crédibles et durables, à des modèles qui se montrent à bout de souffle.
La grande distribution actuelle fait partie de ces modèles. Après avoir permis dans les années 70 la réduction des prix pour les acheteurs, elle perd aujourd’hui le consommateur au milieu de milliers de références, le rendant incertain de la qualité des produits qu’il achète. Ceux-ci sont-ils sains, goûteux? Sont-ils sans impacts sur l’environnement ? Le prix payé au producteur est-il juste ?
De l’autre côté du système, agriculteurs et autres petits producteurs ont de plus en plus de mal à vivre correctement de leur travail et, parfois, à garantir leur propre santé.
Les AMAP et d’autres formes de circuits courts permettent en partie de répondre à ces problématiques. Mais il est souvent nécessaire de s’approvisionner à différents endroits, à des prix souvent assez onéreux, mettant ainsi rapidement à mal les meilleures volontés. Nous souhaitons donc apporter une réponse qui garantisse à la fois le choix et la qualité, le tout à prix justes.
Comment ? En créant un super-marché collaboratif et coopératif à Nancy !


NOTRE SOLUTION :

L’ idée est simple : en achetant et décidant collectivement, nous consommerons mieux. Des initiatives similaires ont pu exister et fonctionner en France, mais l’une d’entre elles subsiste et se développe à New York depuis 1975. Elle fait depuis quelques années des émules partout dans le monde.
Dans notre super-marché, les membres seront non seulement propriétaires de la structure, mais devront également prendre part à son fonctionnement en donnant 3 heures de leur temps par mois. La logique vertueuse de notre projet est simple : en réduisant les coûts et les charges par rapport à un supermarché classique, nous pourrons réduire le prix de vente des produits, tout en rémunérant au prix juste les producteurs.

Nous voulons être un lieu où vous achetez vos bien de consommation courante, mais aussi un lieu de vie et d’échanges. Vous pourrez y nourrir non seulement votre corps, mais aussi vos réflexions, vos relations sociales et y donner du sens.




L'émission: 

La Fabrique à Strasbourg


La Fabrique met à la disposition du public des machines-outils professionnelles, et propose des conseils, permettant à tout un chacun de transformer une idée en produit utile.
« Vos idées sont plus belles en vrai ! ». Installée dans les anciennes glacières de la brasserie Gruber, à Strasbourg, les créateurs de la Fabrique ont bien choisi leur slogan. Cet espace de 1700m², ouvert à tous les adeptes du « do it yourself » (fait soi-même), concerne aussi bien les bricoleurs du dimanche que les bidouilleurs passionnés ou les professionnels souhaitant réaliser un prototype industriel. « Tous ceux qui ont envie ou besoin de réaliser un objet sont les bienvenus », affirme François Kormann, président et cofondateur de l’association.


La Fabrique est un centre de production partagé où les idées des adhérents peuvent prendre forme. « Un peu comme dans une salle de sport, nous mettons à disposition un espace, des machines et un accompagnement pour réaliser des prototypes ou créer des pièces spécifiques », explique François Kormann. Ce technicien en mécatronique, titulaire d’un BTS en microtechnique-outillage, aujourd’hui consultant en prototypage, a exercé pendant treize ans au sein d’une unité de recherche d’un équipementier automobile. En créant cet atelier collaboratif avec un groupe d’amis, ce Géo-Trouvetout a pris comme modèle les ateliers Techshop, ouverts aux Etats-Unis depuis 2006.

On trouve tout à la Fabrique. La place : 500m² pour les machines et plus de 1000m² pour le stockage. Le matériel : une quarantaine de machines-outils sont en libre accès. Cela va de l’imprimante 3D, aux différentes scies (circulaire, à rubans), des postes à souder ou encore de la machine à graver un circuit imprimé. Le matériel de protection est également fourni et parfois même certains composants électroniques que l’association recycle. Il faut d’abord cotiser 10€ par an pour adhérer à l’association, puis il faut souscrire un abonnement pour utiliser les différentes machines : 10€ la journée ou 245€ l’année.

« Pour lancer notre initiative, nous sommes parvenus à rassembler 100.000€, provenant notamment du Fonds européen de développement régional, un tiers de fonds propres et le reste en subventions et aides publiques », raconte François Kormann. « Et puis, nous avons pu bénéficier de dons précieux comme du matériel informatique, offerts par les collectivités. Des collèges et des lycées professionnels nous ont aussi donné des vieilles machines ou de vieux postes à souder. On les a réparés et ils sont comme neufs. » Du matériel qui permet d’animer quatre ateliers permanents autour du bois, du métal (forge), de l’électronique-informatique et de la couture.
Pour les apprentis bricoleurs, la Fabrique propose également des formations. Les inscriptions se font sur leur site internet et coûtent 10€ de l’heure, hors matériaux nécessaires. L’association qui compte 200 adhérents, peut s’appuyer aujourd’hui sur un réseau de 800 professionnels, dont une quarantaine de bénévoles qui viennent partager leur expérience et leur savoir-faire. « Donner les moyens de se réunir et d’échanger, c’est rassembler les conditions favorables à la création et à l’innovation ».

La Fabrique ambitionne, si le nombre d’abonnés croît comme prévu, de se constituer en société coopérative et de développer le volet formation, en nouant des partenariats avec les entreprises de la région. Certaines pourraient offrir aux membres de leurs équipes recherche et développement des abonnements pour qu’elles participent à l’aventure et enrichissent leurs compétences. « Notre Fab Lab a déjà permis à des entrepreneurs de prendre leur envol grâce aux prototypes créés », se réjouit François Kormann. « L’espace que nous avons ouvert ne sert pas seulement à réaliser des passions, même si c’est déjà beaucoup. C’est aussi un lieu qui peut contribuer à libérer les talents et à faire progresser toute la société. »
L'émission


Pour en savoir plus :

La Fabrique, 91 route des Romains, 67200 Strasbourg.
Tél : 07 69 18 66 65
Mail : contact@lafab.org
Site : http://lafab.org
Facebook : https://www.facebook.com/ lafab.org

mardi 27 juin 2017

Bienvenue à la quincaille rit à Cordemais



Ce lieu un peu atypique comme vous pouvez le penser, est né d'une histoire familiale qui a débutée en 1954. C'était à l'époque, principalement une forge et maréchalerie. En fermant les yeux je me souviens encore du bruit du marteau sur l'enclume et de l'odeur de la corne brûlée. Les tracteurs ayant ensuite remplacés les chevaux, la forge s'est transformée en quincaillerie. 


Après plus de 60 ans au service des Cordemaisiens, l'évolution du commerce de proximité et les normes en tout genre nous ont contraints à imaginer une activité autre. Mon frère Serge DOCEUL, artiste peintre, né juste au dessus de la boutique, y expose encore aujourd'hui ses tableaux.


La quincaillerie familiale est aujourd'hui devenue "La Quincaillerie Rit", galerie d'art, boutique de créateurs et salon de thé. C'est un lieu qui se voudra convivial, où l'art et la création auront toute leur place.


La Quincaillerie Rit, c'est aussi un lieu de création ( ateliers de cartonnage, tricot, broderie..)



mais aussi une scène musicale



Ouvrez grand vos yeux et vos oreilles et poussez avec nous la porte de la Quincaille Rit.

La Boutique est ouverte : du mercredi au dimanche de 9h00 à 12h30 et de 15h00 à 19h00 ( Fermée le lundi et le mardi)
Pour garder le lien :